PIETTE Christine - Le 19/11/2012 à 16:23

Bonjour Isabelle, Nous nous sommes vues à Brive Dimanche dernier. J'ai juste eu le temps de vous dire que j'étais libraire à Montluçon où organisions un salon du livre chaque année et vous m'avez dit "Montluçon? je viens !" Alors me voici pour la confirmation.... Le salon aura lieu le premier week-end d'Octobre (5 et 6) et je serais ravie, mais alors RAVIE de vous accueillir. Il paraît que personne ne veut venir en Auvergne, que nos politiques veulent même payer les premiers loyers des pauvres gens qui oseraient s'y aventurer, mais vous verrez que c'est une très belle région pleine de qualités (Pâté au pommes de terres, aligot, Saint Pourçain.... Brive n'a qu'à bien se tenir !). Sinon, je me suis renseignée auprès du Théâtre Gabrielle Robinne (on a même une Scène nationale!). La programmation 2013 est en cours, vous pourriez peut-être aussi venir jouer votre pièce ... Si je peux servir d'intermédiaire, n'hésitez-pas. J'ai fait un petit commentaire sur " roman à l'eau de bleu" sur la page Facebook de ma librairie. Si vous avez 2 minutes... J'espère à très bientôt Christine

Heno de Pravia - Le 09/11/2012 à 00:18

Bonsoir Isabelle ! Juste quelques lignes sans intérêt particulier sinon celui, bien futile, de vous faire partager une pointe de nostalgie... C'était l'époque du "directo Paris Algeciras", ce train qu'on prenait à la Gare d'Austerlitz et qui nous emmenait au fin fond de l'Andalousie... Ce n'était pas un voyage, mais une expédition ! On traversait toute la France, puis, toute l'Espagne, en une nuit, et un jour, et encore une nuit...! Quand nous arrivions à Brive, l’accent du chef de gare annonçait, à lui seul, que nous avions quitté les contrées du nord ! « Brive-la-Gaillarde, 5 minutes d’arrêt ». Bien sûr, je savais bien que Brive était encore en France, mais tout de même, ce chef de gare, il roulait les « r », comme mes parents, on ne devait donc plus être très loin de la terre promise… ! Et le voyage se poursuivait. J’entendais des noms que je trouvais forts et merveilleux, Miranda de Ebro, Aranda de Duero, Bobadilla… Au matin du troisième jour, le paysage avait changé… Une main invisible avait badigeonné à la chaux les murs tristes et gris des gares, et avait transformé les arbres en oliviers et en palmiers… Andalucia mia… Je vous souhaite beaucoup de belles rencontres à Brives-la-Gaillarde-cinq-minutes-d’arrêt ! Cordialement. H.P.

Mansart Marcel - Le 09/11/2012 à 11:10

J'espère Isabelle que ce salon vous aura été profitable et que vos rencontres intéressantes , dommage que pour nous ,les auteurs inconnus ne soyons jamais convié à de tel rendez vous ! Avec mes plus Cordiales Salutations. Marcel Mansart auteur d'un ouvrage " Les Enfants de la Guerre " .